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    La seule différence de taille entre une famille saine et une famille toxique,

    c'est le degré de liberté qu'ont les membres de la famille pour s'exprimer en tant qu'individus.

    Les familles saines encouragent l'individualité, la responsabilité personnelle et l'indépendance.

    Elles encouragent leurs enfants à cultiver leurs capacité et leur respect de soi.

     

    Le Problème des limites

     

    Les familles malsaines découragent l'expression individuelle.

    Chacun doit se conformer aux pensées et aux actions des parents toxiques.

    Une façon de promouvoir la fusion, de gommer les limites personnelles,

    de souder ensemble les membres de la famille.

     

    Au niveau de l'inconscient, les membres de la famille ont du mal à savoir où finit l'un et où commence l'autre.

    Dans leurs efforts pour être proches, ils étouffent souvent mutuellement leur individualité.

    Chacune des décisions que vous prenez devient inextricablement mêlée au reste de la famille.

    Vos sentiments, vos comportements et vos décisions  ne vous appartiennent plus.

    Vous n'êtes plus vous même, vous êtes un appendice de votre système familial.

    C'est comme si être différent était mal.

     

    Susan Forward

    "Parents Toxiques".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    La notion de pardon est issue de la pensée judéo-chrétienne.

    Pardonner à ses ennemis est une tâche relativement aisée, car nous n'en attendons pas grand-chose ;

    il est beaucoup plus difficile de pardonner à ses proches,

    ceux que l'on aime et que nous avons investis d'espoirs et d'attentes.

    Mais faut-il pardonner ? Est une nécessité afin de se guérir ?

     

    Quels sont les résultats d'une démarche de pardon initiée par le mental ?

    L'émotion reste entière, non vécue, enterrée au fond de notre être, bloquée par notre mental.

    Ce blocage sur lequel nous aurons mis une couche de pardon

    crée une tension qui peut entraîner des symptômes et des maladies.

    Nous constatons que, au nom de règles mal comprises ou mal enseignées par des personnes de pouvoir,

    la victime va se retrouver non seulement victime de l'autre mais en plus d'elle-même,

    et tout cela au nom d'un pseudo-amour rimant avec soumission, perte d'identité et destruction.

     

    Pour mettre en œuvre le vrai pardon, dans un premier temps,

    il s'agit de se donner le droit d'avoir été blessé au plus profond de soi

    par l'insulte, les coups, l'acte ou le non acte déclencheurs de la blessure ressentie. 

    Cela signifie admettre qu'il y a une blessure provoquée par l'autre,

    reconnaître que nous ne sommes pas aussi forts que nous désirerions l'être,

    accepter que nous sommes vulnérables.

    Afin de parvenir à cela, il nous faut nous remettre dans le moment présent,

    ce qui suppose d'éteindre le mental.

    Se retrouver dans son corps physique et sensoriel

    va permettre de dresser un bilan complet des dégâts  causés par la personne qui nous a blessés.

    Il est souvent difficile de franchir cette première étape.

    En effet, le mental va tout faire afin de minimiser les atteintes réelles,

    "oublier" certains dégâts ou en amplifier certains autres, juger telle ou telle autre chose,

    relativiser certains points et tout faire pour que

    ce bilan puisse rester dans les "normes" admissibles et acceptables

    pour le système auquel nous appartenons....

     

    Dr Daniel DUFOUR

     

    "Les Barrages Inutiles - Ces pensées qui rendent malade".

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    L'inconscient,

    aussi appelé "ombre" par le psychiatre suisse Carl G.Jung,

    est comme une "autre personne" qui vit en nous.

     

     

    Notre inconscient, aussi appelé "Ombre".

     

    Elle a ses propres projets, émotions, envies.

    Elle prend des décisions à notre place.

    Ses  décisions sont en général contraires à ce que notre "moi conscient" a décidé de faire.

    Ainsi nous avions fermement décidé

    de passer tout le week-end à réviser pour un examen important le lundi matin.

    Mais le dimanche soir arrive et nous ne nous sommes toujours pas mis au travail.

     

    Nous avons l'impression d'être faible, pas à la hauteur.

    Nous sommes frustrés, déçus par nous-même.

    Si nous ne prenons pas conscience de la puissance de notre ombre,

    nous risquons de tomber dans l'auto critique, l'auto dévaluation, voire l'auto détestation.

    Nous finissons par être habités par une voix qui nous explique en permanence que nous sommes nuls,

    faibles, lâches, trop gros, trop bêtes, trop tristes...

     

    Notre ombre est constituée de tous les interdits, les tabous,

    les choses de notre histoire que nous n'osons pas nous reconnaître à nous-même,

    en particulier parce qu'elles peuvent être dangereuses pour nous,

    car elles pourraient aboutir à ce que nous soyons rejetés par notre entourage.

     

    Notre ombre est donc forgée par l'histoire de notre famille,

    l'époque où nous vivons et notre personnalité héritée de nos ancêtres.

    Nous ne l'avons donc pas choisie volontairement.

    C'est important de le savoir pour ne pas éprouver un sentiment de honte exagéré en découvrant notre ombre.

     

    Connaître son ombre, c'est reconnaître des aspects sombres que nous ne voulions pas voir,

    mais aussi des aspects lumineux de nous-même que notre milieu nous avait interdit de voir.

     

     

    Quels sont les compliments qui vous touchent le plus ?

     Quelles sont les qualités dont vous êtes le plus fier,

    celles que vous aimez le plus que les autres remarquent et qu'elles soient publiquement reconnues ?

     

    Certains dirons : "j'aime qu'on me dise que je suis beau."

    d'autres diront "j'aime qu'on me dise que je suis généreux".

    Prenez l'exact contraire de ces compliments qui vous touchent, c'est ce que votre ombre pense.

    En effet, s'il est si important et si plaisant qu'on vous dise que vous êtes beaux, par exemple,

    c'est probablement parce que, au fond, vous n'en êtes pas convaincu.

    Vous avez donc besoin qu'on vous le dise.

     

    Notre ombre se révèle encore lorsque nous "sur-réagissons" à des événements.

    Quand la vivacité de nos réactions nous surprend nous-même.

    Observer ces réactions, les noter, puis y réfléchir, en parler avec un interlocuteur de confiance,

    permet de découvrir de larges territoires de notre ombre,

    dont l'existence nous serait restée inconnue autrement.

     

    Quels sont les compliments que j'ai du mal à accepter ?

    Ce point est particulièrement subtil, et donc très important à explorer.

    Il permet d'accéder aux parties les mieux enfouies de notre ombre.

    Ainsi les gens vous complimentent sur vos talents mais vous rejetez chaque fois ces compliments

    en supposant que les gens vous disent cela "pour vous faire plaisir", "par politesse",

    ou alors carrément qu'ils se trompent parce que le mérite en reviendrait à quelqu'un d'autre...

    Et pourtant, la plupart du temps, les compliments que l'on vous fait ont une base de sincérité et de vérité.

    Ne pas accepter les compliments, c'est en réalité chercher à camoufler une partie de son ombre,

    à savoir un ardent désir d'être admiré pour cette chose,

    mais que vous ne vous permettez pas de ressentir, car on vous a empêché de le faire.

     

    Oser explorer les parties sombres de votre être

    vous  permet de vous réconcilier avec votre ombre.

     

     

     

    SOURCE : SANTE NATURE INNOVATION -

     

     

     

     

     

      

     

     


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    "Aujourd'hui, je suis seul. Je n'ai plus rien, plus de frères, de soeurs, de père, ni de mère.

    La justice m'a donné tort mais je sais aussi que je ne dois pas me taire."

     

    LAURENT DE VILLIERS

     

    Deux millions de personnes en France déclarent avoir subi des abus dans le cadre familial.

    Moins de 30 % osent porter plainte, sans qu'il y ait le plus souvent de poursuites judiciaires.

    Ce témoignage est emblématique du parcours d'obstacles se dressant devant ceux qui revendiquent

    leur statut de victime.

    Dans le cas de Laurent de Villiers,

    après avoir ordonné en mai 2010 le renvoi aux Assises de son agresseur présumé,

    la justice s'est ravisée et a prononcé un non-lieu en appel.

    Il a décidé de se pourvoir en cassation.

     

    Laurent De Villiers

     

     

     

     

     

    Guillaume De Villiers et ses "parents"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    "Une affaire de famille"

     

    "Ceux qui n'ont rien compris à l'affaire opposant de clan De Villiers à l'un de ses fils,

    sur fond d'accusation d'inceste entre frères,devraient se plonger dans Tais-toi et pardonne !

    Ce livre est une pièce à conviction, au sens large du terme.

    Car on en sort convaincu que Laurent de Villiers y dit sa vérité, quoi qu'en jugent les tribunaux.

    Une vérité qu'on ne peut réduire à un règlement de comptes, ni à un témoignage poignant

    sur l'un de ces dérapages sordides qu'on commet en famille.

    Certes c'est l'histoire d'un abus sexuel.

    Mais, bien plus que cela, c'est l'histoire très française

    d'une famille catho taraudée par le sens du péché, d'un milieu aristocratique arrimé à sa nostalgie royaliste,

    d'un clan politique flirtant avec l'extrême droite,

    et d'un père, Philippe de Villiers qui règne à l'époque sur son département

    grâce au conseil général qu'il préside et au succès du Puy-du-Fou, son tremplin.

     

    La profondeur du récit de Laurent de Villiers réside dans la façon fine, émue et en fait retenue

    qu'il a de montrer à quel point toutes ces dimensions ont contribué à décupler le drame.

    Sans doute le jeune Villiers, chouchou déchu de son père,

    n'aurait-il jamais porté plainte contre son aîné Guillaume

    si son trouble, le poids du secret et la honte d'avoir servi de jouet avaient été gérés par ses parents

    avec générosité, habilité et tendresse.

    Lorsque la vérité sourd dans la famille, à l'initiative de Guillaume qui, avant son mariage, se confesse à sa mère,

    c'est la victime qui est bâillonnée par le culte collectif rendu au père et à Dieu.

    Il ne faut pas que cela se sache. Il faut quêter la rédemption auprès des prêtres et des moines".

     

    Jacqueline Remy.

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "Ce qui est demeuré incompris fait retour ;

    telle une âme en peine, il n'a pas de repos jusqu'à ce que soient trouvées résolution et délivrance "

    Sigmund Freud - Le Petit Hans

     

    Si nous considérons un symptôme comme véhiculant une information,

    alors, au lieu de tenter de le gommer, nous chercherons à l'entendre.

     

    Tout symptôme est porteur d'une information.

    Toute crise permet de dégager de l'énergie.

     

     

     

     

     

    Les violences visibles sont faciles à repérer.

    S'il est un avantage, c'est qu'elles pourront être nommées.

      Pouvoir dire c'est déjà être sur le chemin de la résilience.

     

    A contrario, les violences invisibles sont, par définition, difficiles à repérer.

    Elles peuvent être administrées avec le sourire par des personnes d'une telle gentillesse

    que si vous vous plaignez à votre entourage, ils vous considéreront comme paranoïaque.

    Il n'est d'ailleurs pas rare de rencontrer des personnes qui ont été victimes de malveillances invisibles

    et deviennent leur propre bourreau : "Est-ce que je n'ai pas rêvé ?",

    "Est-ce que je surinterprète ?", "Suis-je fou ? paranoïaque ?"

     

    Une fois que le "virus" est installé, il est très difficile d'y échapper.

    C 'est pour ça qu'il est important de bien étudier le sujet, d'assainir son entourage,

    de revenir à ses valeurs fondamentales, de se rencontrer...

    Alors, même si l'épreuve est difficile, à l'instar de ces alchimistes qui transforment le plomb en or,

    nous en ressortirons grandis, plus proches de nos vraies valeurs que nous avions peut-être perdues.

    En fait, grâce à cette épreuve, nous avons la possibilité de nous retrouver.

     

    Le véritable sujet n'est pas cet autre qui vous a fait souffrir ;

    le véritable sujet, c'est vous !

     

     

    Extrait du livre

    Les violences invisibles- JC Bouchoux

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "Imaginez un individu qui se définit en tant que parent

    "je suis mère/père avant tout" et qui exprime son autorité à la maison.

    Il ne supportera pas de voir son enfant s'émanciper.

    C'est sans doute celui qui crie : "Tu ne vas pas y arriver... ", "Ne va pas avec eux, c'est dangereux...",

    "tu n'es vraiment qu'un bon à rien..."

    L'enfant est infantilisé, empêché de grandir.

    En empêchant l'enfant d'accéder à sa juste place, le parent est assuré de garder la sienne.

     

     

    Il est une chose que nous devons comprendre :

    nous avons réussi, le jour où nous ne servons plus à rien.

    Ca a l'air difficile à entendre dans une société où il faut toujours plus, et encore plus et plus.

    Un parent suffisamment bon aime voir partir ses enfants ;

    un thérapeute qui ne souhaite pas perdre son pouvoir accompagne ses patients dans la maladie,

    il ne les accompagne pas dans la guérison."

     

    Extrait du livre "Les violences invisibles"

    Jean Charles Bouchoux


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    Comprendre les mécanismes de l'emprise dans le couple, dans la famille, au travail...

    pour agir en conséquence.

     

    Force est de constater que la violence qui sévit dans le monde du travail, dans les relations familiales,

    dans le couple, à l'école tend à se développer et à s'étendre dans l'ensemble de la société.

     

    Parmi les différentes formes que peut revêtir cette violence,

    nous connaissons tous celle qui est relativement visible (colère, insultes...),

    mais il en est une autre, plus insidieuse, plus masquée et souvent plus toxique :

    celle qui est administrée avec le sourire, le non-dit, l'expression non verbale,

    l'injonction paradoxale, ou encore le chantage affectif.

    Mais comment repérer cette violence invisible et y faire face ?

     

    Dans cet ouvrage, l'auteur, Jean-Charles Bouchoux,

    analyse le phénomène de la violence ainsi que ses différentes facettes.

    Il expose les nombreuses situations où nous pourrions être amenés à subir

    une forme d'emprise et de violence insidieuses, pour nous aider à en prendre conscience et à réagir.

    Enfin, il se tourne vers le droit en nous livrant un échange édifiant avec maître François Latour,

    qui nous apporte des solutions juridiques et concrètes,

    pour mieux accompagner les victimes et sanctionner les agresseurs.

     

     

    Jean-Charles Bouchoux est écrivain, psychanalyste et formateur dans la région de Montpellier.

    Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont le best-seller "Les Pervers narcissiques" (éd; Eyrolles 2009),

    traduit dans de nombreuses langues. Il anime régulièrement des conférences et des ateliers en Europe.


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    NE MARCHE JAMAIS SUR LE CHEMIN TRACE,

    CAR IL NE MENE QUE LA OU D'AUTRES SONT ALLES.

     

    Nicolas Hocq, Hypnothérapeute.

     

    Citation...

     


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    "Les valeurs de notre société tendent vers une culture de la jeunesse

    et les progrès de la chirurgie esthétique peuvent conforter le fantasme du "toujours jeune".

     

    Les dangers du "Jeunisme"

     

     

    Le contexte culturel modifie les relations entre les générations, et on peut observer une inversion des modèles :

    Les adultes s'identifient aux adolescents, et non plus l'inverse.

    La limite générationnelle s'estompe,

    et il est devenu fréquent de voir des parents soutenir par un sentiment de fierté

    les frasques de leurs enfants adolescents qui défient la loi et les conventions.

     

    Ce qui est une étape nécessaire pour un adolescent

    devient pour ces adultes un moyen de vivre par procuration leur propre adolescence

    à laquelle ils semblent avoir du mal à tourner le dos".

     

    SOURCE : Le Petit Larousse de la Psychologie.

     

     

     


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    Le 28/10/2016 

    Conférence de Monsieur Paul BELVEZE,

    Président National des Alcooliques anonymes,

    expert international de l'alcool éthylique.

     

     

     L'homme  rencontre l'alcool - Historique.

     

    L'usage de l'alcool remonte à  1700 avant Jésus Christ.

    La bière a été inventée 2000 ans avant JC.

    Les experts étaient les pharaons ; les Egyptiens avaient compris le phénomène de la fermentation.

     

    Chez les Gaulois, deux fêtes étaient réservées à la bière :

    La première lors du solstice de printemps, la deuxième lors du solstice d'automne.

    Pendant ces fêtes et seulement pendant,

    hommes, femmes et enfants pouvaient en consommer autant qu'ils le désiraient...

     

     

    ADDICTION

    C'est la rencontre entre un produit et un homme

    et dans notre culture, il est difficile de faire autrement.

    L'addiction est une alchimie entre un produit, un contexte et des émotions.

     

     

    L'ALCOOL

     

    L'alcool est un phénomène de société :

    49 000 personnes meurent directement des conséquences de l'abus d'alcool.

    Comment devient-on dépendant ?

    La dépendance à l'alcool s'installe de manière insidieuse.

    Les alcooliques sont malheureux de se rendre compte qu'ils ne dirigent plus leur vie ;

    ils deviennent "esclaves".

     

    LA DEPENDANCE PSYCHOLOGIQUE :

    C'est l'anticipation d'une future alcoolisation qui signe la dépendance psychologique ;

    le mécanisme de dépendance passe par l'anticipation :

    Je ne bois que le week end mais la semaine je suis à l'eau.

    Mais si dès le lundi matin vous vous projetez au vendredi soir

    en pensant aux bonnes bouteilles qui vous attendent, c'est déjà une dépendance psychique

    qui risque fort de devenir  une dépendance physique ;

    en effet vous risquez fort dans les 10 ans qui suivent de devenir alcoolo dépendant.

    10 % des consommateurs d'alcool deviennent dépendants.

     

    LA DEPENDANCE PHYSIQUE.

    C'est l'entourage qui, le premier, en prend conscience.

    Il convient d'en parler, mais ne surtout pas porter de jugement.

    Le risque est dans chaque verre.

     

    QUI DEVIENT ALCOOLIQUE ?

    1/3 des personnes sont névrotiques et dépressives

    2/3 n'ont pas de passé douloureux

     

     

    LE BINGE DRINKING

     

    Le binge drinking (biture express)

    ou la beuverie effrénée est un mode de consommation excessif de boissons alcoolisées

    sur une courte période de temps, par épisodes ponctuels ou répétés.

     

    Les jeunes s'alcoolisent avec des prises rapprochées et massives d'alcool

    ce qui les amènent à tomber dans un état de confusion en 20 mns.

    Cependant il n'y a pas de dépendance psychique,

    il y a donc moins de risques de devenir dépendant.

    Le risque est plutôt physique (foie et état général)...

     

     

    SEVRAGE

    L'homme peut mourir d'un sevrage brutal.

    Le sevrage se fait à l'hôpital et nécessite huit jours de traitement.

    Lorsque le malade alcoolique cache de l'alcool pour sa consommation, laissez le :

    Il est très anxiogène pour un alcoolique de ne pas avoir son produit.

     

     

    LE TABAC

     

     78 000 personnes meurent des suites de l'usage du tabac chaque année.

     

    Le tabac est  plus addictogène que l'alcool  :

    on ne s'en méfie pas car il n'est pas un modificateur de l'état de conscience.

    Vous pouvez fumer trois paquets de cigarettes, cela ne vous empêche pas de conduire votre voiture.

     

     

     LE CANNABIS

     

    A l'inverse, le cannabis et l'alcool jouent sur l'état de conscience;

    Un accident mortel sur dix implique l'usage du Cannabis.

     L'usage du Cannabis remonte à 7000 ans.

     

     

    L'HEROINE

    Six injections suffisent pour rendre une personne accro.

     L'héroïne provoque 460 morts par an.

     

    .

     LE CRACK

    Le crac rend dépendant dès la première prise ;

    il ne faut donc pas y toucher.

     

     

     

     

     

     


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  • Rudes ces mots d'Anthony Hopkins, mais tellement justes...

     

     

     

     

    Lâchez les gens qui ne sont pas prêts à vous aimer.

    C'est la chose la plus difficile que vous aurez à faire dans votre vie et ce sera aussi la chose la plus importante.

     

    Arrêtez d'avoir des conversations difficiles avec des personnes qui ne veulent pas changer.

    Arrêtez de vous présenter pour les personnes qui ne sont pas intéressées par votre présence.

    Je sais que votre instinct est de faire tout votre possible pour gagner l'appréciation de ceux qui vous entourent

    mais c'est une impulsion qui vole votre temps, votre énergie, votre santé mentale et physique.

     

    Lorsque vous commencez à vous battre pour une vie, avec joie, intérêt et engagement,

    tout le monde ne sera pas prêt à vous suivre.

    Cela ne signifie pas que vous devez changer qui vous êtes,

    cela signifie que vous devez laisser partir les gens qui ne sont pas prêts à être avec vous.

    Si vous êtes exclu, insulté, oublié ou ignoré par les personnes à qui vous donnez de votre temps,

    vous ne vous rendez pas service en continuant à leur offrir votre énergie et votre vie.

     

    La vérité, c'est que vous n'êtes pas fait pour tout le monde et que tout le monde n'est pas fait pour vous.

    C'est ce qui  rend si spécial le fait de trouver des personnes

    avec lesquelles vous partagez de l'amitié ou de l'amour.

    Vous saurez à quel point c'est précieux parce que vous avez fait l'expérience de ce qui ne l'est pas.

    Il y a des milliards de personnes sur cette planète

    et vous trouverez beaucoup d'entre elles à votre niveau d'intérêt et d'engagement.

     Peut être que si vous arrêtez d'envoyer des SMS, votre téléphone restera sombre pendant des semaines.

    Cela  signifie que la seule chose qui la soutenait était l'énergie que vous avez donnée  pour la maintenir.

    Ce n'est pas de l'amour, c'est de l'attachement.

     C'est donner une chance à ceux qui ne le méritent pas !

    Vous méritez tellement plus.

    La chose la plus précieuse que vous ayez dans votre vie est votre temps et votre énergie,

    car les deux sont limités.

    Les personnes et les choses auxquelles vous consacrez votre temps et votre énergie définiront votre existence.

    Lorsque vous réalisez cela, vous commencez à comprendre pourquoi

    vous êtes si anxieux lorsque vous passez du temps avec des personnes, (dans des activités ou dans des espaces)

    qui ne vous conviennent pas et qui ne devraient pas être près de vous.

    Vous n'êtes pas responsable de sauver qui que ce soit.

    Vous n'êtes pas responsable de les convaincre de faire mieux.

    Ce n'est pas votre travail d'exister pour les gens et de leur donner leur vie !

    Vous méritez de vraies amitiés, de vrais engagements et un amour total

    avec des personnes saines et prospères.

    La décision de vous éloigner des personnes toxiques

    vous donnera l'amour, l'estime, le bonheur et la protection que vous méritez.

     

    Sur ces Conseils

    Bonne année 2024

     

     

     


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