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    On dit avec justesse, que la période de 0 à 7 ans est la plus importante dans la vie d'un enfant.

    C'est dans ces années là que tout se dessine, se décide,

    que se développe la connaissance de soi, l'estime de soi, la confiance de soi.

     

     

    L'enfant enregistre tout ce qui se passe autour de lui.

    Parfois consciemment, parfois inconsciemment.

    Et ce qu'il aura enregistré inconsciemment ressortira de façon claire plus tard dans sa vie.

    L'attitude des parents pour un enfant de cette tranche d'âge est importante.

    Les peurs, les manques, les blessures y prennent racine

    et il est difficile après coup de s'en départir.

     

     

    D.PIETRO

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "La représentation négative, dépressive de soi,

    dont de plus en plus de personnes souffrent et se plaignent à l'heure actuelle,

    n'a strictement rien à voir avec la réalité.

      

     

    Elle ne se justifie par aucun défaut visible, objectif,

    que ce soit la beauté physique, la santé, le travail, l'intelligence ou la richesse.

    Elle n'a pas pour origine le manque réel de quelque chose ou de quelqu'un,

    qui serait concrètement repérable et réparable.

    Elle ne reflète pas ce qu'est le sujet vraiment,

    mais ce qu'il croit, ce qu'il s'imagine être, ce qu'il fantasme,

    sous le prisme déformant du petit garçon ou de la petite fille intérieure.

    Ce n'est donc pas l'adulte qui se perçoit à l'aide de ses propres yeux d'homme ou de femme,

    mais l'enfant en lui qui l'observe et le juge sans indulgence.

    D'où l'inutilité fonciere de s'épuiser à "réparer" ces prétendues insuffisances ou disgrâces

    par des mesures extérieures :

    changement impulsif d'emploi, de résidence ou de partenaire,

    recours à la chirurgie esthétique"

    Mr Moussa Nabatti

     

     

     

     


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    Ils ne sont pas des amis au rabais.

    Pour la plupart,

    ce sont les mêmes que nous fréquenterions

    "dans la vraie vie".

     

     

    Nos amis du cyberespace.

     

     

    L'espace virtuel invite à se dévoiler pour faire entendre sa voix dans la multitude.

    Nous parlons beaucoup de nous.

    Il est plus facile de se livrer à une personne que nous ne croiserons pas ;

    la confidence est l'un des modes de communication majeurs des réseaux....

     

    psychologie.com

     

     


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    "Il y a de la parole en toi, il faut la faire sortir".

     

     

    "Cela vient de François, un ami, fine plume et belle âme.

    Sa pensée bienveillante a bouleversé le cours de mon existence et fait changer mon regard.

    Oui François avait raison !

    J'étais alors remplie de mots (et de maux),

    de paroles oubliées, de celles que je n'avais pas bien su dire ou que je n'osais pas prononcer.

    Trop longtemps, je me suis tue, bâillonnée par la peur de mes propres émotions,

    du jugement de l'autre et des conventions.

    Alors j'ai écrit. Et je me suis libérée.

    Nous avons tous en nous cette parole, ces rêves, ces "je t'aime", ces "je souffre"...

    En la laissant sortir, c'est un peu de paix que l'on fait entrer en soi."

     

    Flavie FLAMENT

    pour

    PSYCHOLOGIE MAGAZINE.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    Disponible en replay jusqu'au 26 avril 2024

     https://www.france.tv/france-2/infrarouge/5305002-psy-de-l-autre-cote-du-divan.html

     

     

    A revoir... "Psy, de l'autre côté du divan

     

    Un français sur trois a déjà consulté un "psy".

    Chaque jour, des dizaines de milliers de personnes prennent place sur un divan

    et se livrent sur leur vie, leurs tourments, leur intimité.

    A leurs côtés, les psychanalystes les écoutent plus qu'ils ne parlent.

    Que se passe-t-il dans la tête de ces spécialistes ?

    Pourquoi ont-ils choisi ce métier ?

    Quelles sont leurs difficultés ?

    Peuvent-ils refuser un patient ?

    Pourquoi faut-il les payer et pourquoi est-ce parfois si long ?

    Comment accompagnent-ils un enfant ?

    Et surtout : quels engagements peuvent-ils prendre vis-à-vis de toutes ces personnes en souffrance

    ou en quête de solutions qui viennent se confier à eux ?

    Peuvent-ils promettre la "guérison" ?

     

     

    Avec les témoignages de :

    Catherine Dhery, psychanalyste, Paris

    Virginie Jacob Alby, psychanalyste, Dinard

    Ali Magoudi, psychanalyste, Paris

    Rajaa Stitou, psychanalyste, Montpellier

    Alain Vanier, psychanalyste, Paris

    Jean-Michel Vivès, psychanalyste, Toulon

     

     


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    En vertu de leur rôle privilégié, de leur accès aux sentiments profonds et à l'information secrète,

    les réactions qu'on  attribue aux thérapeutes sont toujours exagérément grossies.

    Il est presque impossible aux patients de les voir tels qu'ils sont réellement.

     

     

    IRVIN YALOM

     

     

     

     


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    Notre souffrance est ignorance :

    j'ignore une dimension de vie en moi,

    une dimension de sens qui est emmurée dans une pièce perdue de mon palais intérieur,

    une chambre oubliée.

     

     

     

    Et c'est la souffrance qui vient fissurer le mur,

    ouvrir la brèche ou tourner la clé de la porte secrète,

    de sorte que je puisse accéder à un nouvel espace en moi,

    profond et inattendu.

    Un lieu où je gouterais davantage d'aisance et de bien-être intérieur,

    davantage de solidité et de sécurité intérieures

    et d'où je pourrai me regarder et regarder les autres et le monde

    avec plus de bienveillance et de tendresse.

    Et la chambre oubliée s'ouvre alors comme une terrasse sur le monde.

     

     

     


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    Cette rencontre, cœur même de la psychothérapie,

    consiste en un contact affectueux, profondément humain entre deux êtres,

    l'un (généralement le patient, mais pas toujours) plus perturbé que l'autre.

    Le thérapeute a un double rôle : à la fois observer la vie de son patient et y participer.

    Observateur, il doit être suffisamment objectif pour fournir les conseils élémentaires nécessaires au patient.

    Participant, il pénètre dans la vie du patient

    et peut être affecté, et même transformé par cette rencontre.

     

     

     


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    "Au secours, aimez moi"

    ainsi pourrait se résumer ce que ressent en permanence

    un adulte souffrant de syndrome abandonnique.

     

    Le syndrome abandonique

     

    Trouvant naissance dans la petite enfance, voire dans la vie fœtale,

    le syndrome abandonnique se construit à la suite d'une sentiment d'abandon réellement vécu

    dans un passé dont l'adulte n'a parfois plus conscience.

    Souffrant d'une insécurité affective constante, l'adulte aura toujours peur,

    consciemment ou inconsciemment, de voir cet abandon se répéter.

     

    On peut constater, entre autre,

    des réactions de repli profond sur soi-même,  des angoisses répétées,

    des signes de la dépression et une agressivité réactionnelle en réponse à un cri intérieur et dévastateur :

    "je ne suis pas aimée parce que je ne suis pas aimable"

    au sens que l'autre n'a pas de raisons suffisantes de m'aimer car je n'en suis pas digne.

     

    Comment réagir quand on souffre de ce qu'on nomme aussi "l'abandonnite" ?

    En prendre conscience est le premier pas vers la recherche de ce qui l'a déclenché.

    Il est parfois difficile de faire le travail seule et on ne saurait que trop mettre en avant

    la nécessité d'un travail thérapeutique analytique

    afin de dénouer les fils de cette souffrance envahissante et oppressante.

     

    "Au secours, aimez-moi", résonnant comme un "Au secours, je ne m'aime pas." 

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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    "La Perversion Narcissique n'est pas une relation normale.

    C'est un mécanisme qui cherche à détruire l'autre, à le rabaisser, à le faire souffrir, à le rendre fou.

    Vous êtes le médicament de cette personne.

    Il ne supporte pas son conflit intérieur".

     

     

     

    "Quand vous êtes pris sous le feu nourri de quelqu'un de fou,

    vous n'arrivez pas à faire le point, à comprendre ce qui vous arrive et vous vous laissez faire.

      Le livre leur fait comprendre, il se passe ça et ça, leur explique comment s'en sortir...

    C'est donc montrer  à ces personnes qu'elles ne sont pas folles,

    que ce qu'elles vivent existe bien et que c'est insupportable.

    Le Pervers Narcissique est proche de la schizophrénie .

    Vous ne satisferez jamais cette personne."

     

     

    JEAN CHARLES BOUCHOUX

     

     

     

     

     


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    J'ai aimé ma mère. 

    D'aussi loin que je puisse me souvenir et très jeune déjà, 

    je l'ai soutenue et ai tout fait pour la voir heureuse... En vain.

    Elle n'a pas eu une enfance facile

    et c'est certainement pour cela que je n'ai rien pu faire pour lui donner le sourire.

     A l'adolescence, mystérieusement, elle m'a considérée comme sa rivale, son mauvais objet.

    Au mieux j'étais transparente à ses yeux.

     

    Ma mère

     

     

     

    J'ai très vite senti  qu'elle me manquait en quelque chose

    mais je ne suis jamais parvenue à identifier le vide qu'elle laissait en moi.

    C'est une femme à deux facettes... Les gens en connaissent une, moi une autre.***

    Faire le deuil d'une mère vivante me prendra des années....

     

     

    Ma mère

    Ce que j'ai compris :

    Le propre du pervers narcissique est qu'il a plusieurs visages. Il passe d'une facette à l'autre en quelques secondes.Il a deux fonctionnements différents en fonction du public face auquel il se trouve. Il sera ouvert et agréable devant les gens et se transformera en véritable bourreau lorsque vous serez en tête à tête. 

     

     

     

     

     

     


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    La négligence émotionnelle de l'enfant fait partie du registre de la maltraitance.

    Elle se caractérise par le manque d'attention des parents au besoin de l'enfant,

    un manque d'empathie, une distance affective et une absence émotionnelle de leur part.

    Toute cette négligence a des conséquences dramatiques

    sur le développement émotionnel et relationnel de l'enfant,

    qui peuvent le suivre étant adulte.

     

    CONSEQUENCES :

     

     

    L'insensibilité

     Se sentir insensible est quelque chose qui peut arriver de temps à autre. Ce n’est pas une sensation physique, c’est une sensation émotionnelle. De temps en temps, vous vous sentez insensible de tout ce qui se passe autour de vous. Vous vous rendez compte que vous devriez sentir une certaine émotion, mais rien ne semble vraiment être important pour vous. Ce type de réponse émotionnelle est un signe que vous avez été émotionnellement négligé étant enfant. Vous avez appris dès votre jeune âge à étouffer vos émotions pour ne pas être blessé.

     

    Refuser l'aide d'autrui

    Si vous étiez émotionnellement négligé étant enfant, souvent vous n’aviez aucune aide lorsque vous en aviez le plus besoin. Vous étiez constamment seul. Ce sentiment peut vous suivre jusqu’à l’âge adulte. Vous avez appris à ne jamais dépendre de quelqu’un d’autre, alors même si vous êtes en difficulté, vous refusez de demander de l’aide aux autres.

     

    Mauvaise estime de Soi

     

    La mauvaise estime de soi peut être liée à beaucoup de choses, y compris le fait d’être émotionnellement négligé étant enfant. Lorsque vous étiez petit, vous avez peut-être pensé que vous ne méritez pas le temps ou l’amour de vos parents, car ils ne vous ont jamais accordé beaucoup d’attention. Bien que cela soit faux, il peut être difficile à se débarrasser de ce sentiment. Ce qui peut se traduire par une mauvaise estime de soi et une dévalorisation tout au long de votre vie adulte.

     

    Sentir un Vide

     Vous avez toujours l’impression qu’il vous manque quelque chose. Il y a un vide à l’intérieur de vous que vous laissez ouvert pour l’amour d’une autre personne. Au fond, vous croyez que le remplissage de cet espace vous apportera enfin de la joie. Ce qui n’est pas toujours vrai, puisque dans cette course effrénée pour combler ce vide, vous pouvez tomber sur des personnes malintentionnées et toxiques pour votre bien-être, qui pourront vous nuire plutôt que vous guérir.

     

    Perfectionnisme

     

    Quand un enfant est négligé, il peut tout essayer pour attirer l’attention de ses proches. Si vous avez cherché cette attention toute votre vie, vous pourriez devenir un perfectionniste. Vous essayez d’être parfait dans tout ce que vous faites, afin d’être finalement remarqué et apprécié.

     

    Sensible au rejet

     

      Avoir peur du rejet dans votre vie adulte est un signe de rejet dans le passé. Être émotionnellement négligé pendant l’enfance peut créer une peur intérieure chez vous qui peut vous suivre étant adulte. Même les critiques constructives vous font mal, parce que vous avez l’impression d’être attaqué et qu’on vous dit que vous n’êtes pas assez bon.

     

    SOURCE : PSYCHOLOGIE.COM

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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