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      Tout travail psychologique,

    qu'il soit en surface ou en profondeur,

    est une relation humaine entre le psychologue et son patient et vice et versa.

    Ils sont des compagnons de route.

     

    Le travail thérapeutique.

     

    L'analyste représente le monde tel que le patient voudrait qu'il fût, parce qu'il ne juge jamais.

    Souvent le patient se relie comme un enfant à son père analytique.

     

    L'analyste entend souvent :

    "Je ne vis qu'en fonction de ma séance d'analyse",

    "Je n'ai que vous au monde",

    "Si vous m'abandonnez, je suis perdue".

     

    Il y a donc fixation temporaire du patient sur l'analyste.

    Or pour progresser, cette fixation doit cesser harmonieusement,

    au fur et à mesure que la personnalité adulte du patient se renforce.

     

                                                                                Pierre DACO.

     

     

     

     

     

     

     


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    "L'amour de transfert est un amour vrai, réel,

    capable d'élans passionnels et, en même temps, quelque chose fait sentir qu'il n'est pas vrai,

    qu'il est le produit d'une illusion".

     

    A. Green, Illusions et désillusions du travail psychanalytique.

     


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    L'amour de transfert est un amour vrai, réel,

    capable d'élans passionnels et, en même temps,

    quelque chose fait sentir qu'il n'est pas vrai,

    qu'il est le produit d'une illusion.

     

     

     

     

    A. Green

    "Illusions et désillusions du travail psychanalytique".

     

     


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    Freud était convaincu que l'ambiguïté et l'opacité du thérapeute

    sont essentielles dans le processus du transfert.

    Transfert auquel Freud attribuait une importance particulière,

    car il procure une information valable sur le monde intérieur du patient

    et sur l'expérience des premiers jours de la vie.

     

    Freud et le transfert....

     

     

     

     


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    ET SI ON PARLAIT "TRANSFERT"

     

    On se rend compte que le transfert n'est pas un jeu.

    C'est avant tout un "instrument" de travail parfois douloureux pour le patient.

    Les réactions d'une personne plongée dans le transfert peuvent sembler absurdes... à qui n'a jamais fait une analyse.

    Cependant, une personne qui entreprend une analyse, sent, dès les premières séances,

    un climat particulier s'emparer d'elle.

     

    L'analyse du transfert consiste essentiellement à le comprendre en profondeur.

    Cette stratégie conduit à une acceptation du vécu passé et des effets qu'il continue à avoir sur le patient.

    Il s'agit de reconnaître une similarité entre le comportement présent et le comportement passé.

    Résoudre le transfert, ce n'est pas le neutraliser.

    Il ne s'agit pas de ne plus laisser jouer son transfert en contrôlant ses émotions ou en se retenant de réagir.

    Le signe le plus évident de la présence du transfert,

    est une réaction émotionnelle forte et disproportionnée par rapport à une situation...

     

    Petit à petit, le manque affectif qui nous hante se clarifie.

    La privation affective donne lieu à beaucoup de frustration durant plusieurs années.

    Celle-ci provoque de la colère qui surgit sous forme de reproches.

     

    Le travail de résolution du transfert suscite beaucoup de résistance.

    La principale consiste à accepter la vulnérabilité d'être en manque

    par rapport à un besoin que nous jugeons habituellement "infantile".

     

    De l'adulte accompli "au dessus de ses affaires"

    nous devenons par le fait le même adulte "ayant un besoin affectif criant".

    Il s'agit d'une humiliation à laquelle il est difficile de consentir...

     

     

     

     


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